Mon ami le peintre Didier Paquignon, a exposé 130 personnalités françaises torse nu (dont moi)
C’est lors d’une exposition exceptionnelle au Palais de Tokyo le 29 novembre dernier, que mon ami le peintre Didier Paquignon a dévoilé ses « muses » au tout Paris. Plus de 130 peintures de personnalités françaises- Trois années de travail- ont été exhibées à la curiosité de trois mille chanceux. Les torses de Raymond Domenech, Denis Avant ,Jean Claude Dreyfus, François Morel (Deschiens) et le mien n’ont désormais plus de secret pour le quidam.
Ne ratez pas l’interview de l’artiste ce soir à 22h sur France Inter http://www.franceinter.fr/
Vous pouvez reluquer les torses sur le site : http://www.isabelledemars.com/Oeuvres/Fiche/Item/jean_claude_elfassi__photographe_de_presse-174
http://twitter.com/JcElfassi
http://www.facebook.com/jeanclaude.elfassi.9
http://www.youtube.com/user/JeanClaudeElfassi
http://www.dailymotion.com/JeanClaudeElfassi

Raymond Domenech et Le Grand Elfassi n’ont jamais été aussi proches. Bravo à Raymond d’avoir joué le jeu.
4 décembre 2013 à 23 h 19 min
Pour toutes celles qui rêvent de se payer le Grand Maître … c’est 8000 € HT hors livraison ! Disciple du Maitre + 8.001,00 Lol ;o)
4 décembre 2013 à 23 h 24 min
Pour Disciple du Maître le plus fidèle des fidèles, c’est gratuit. Bises à toi Remy
5 décembre 2013 à 12 h 13 min
Au sujet des événements médiatiques et leur aspects cachés, voici un article sur les chiens cobayes, face cachée du Téléthon :
http://www.rue89.com/2013/12/03/experimentation-animale-les-chiens-myopathes-cobayes-face-cachee-telethon-248080
« […] Les chiens myopathes, ces invisibles
Après plus de deux mois d’intenses échanges, j’ai enfin pu approcher les fameux chiens myopathes qui servent à la recherche sur la myopathie de Duchenne. Les associations de protection animale connaissent leur existence, mais possèdent très peu d’informations sur le traitement qui leur est réservé.
Sur le site du laboratoire qui les utilise, seules quelques photos des membres du laboratoire avec un chien dans les bras sont présentes [nous n’avons pas souhaité nommer le labo pour ne pas exposer son personnel à d’éventuelles attaques personnelles, hélas courantes, ndlr].
Le choix de cette absence de communication est simple : « Vous comprenez, on ne peut pas montrer ça aux gens », m’explique un animalier, alors que je rentre pour la première fois dans le chenil des chiens myopathes, situé dans l’un des bâtiments de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort.
Des chiens cobayes dans le chenil (DR)
Montrer comment s’effectue la recherche irait à l’encontre même des objectifs du Téléthon et surtout de sa méthode : l’impact émotionnel. Les chiens ne peuvent plus s’alimenter, et vivent donc avec une sonde pour être nourris, ils ont des difficultés respiratoires et motrices très lourdes. Certains chiots ressemblent déjà à des robots et ne font quelques pas qu’au prix d’un essoufflement accablant. Cette réalité occultée par l’AFM Téléthon, dont les affiches sont présentes dans les couloirs du chenil, est très dure à supporter. […]
Un élevage de chiens destinés aux labos
Dans le chenil des chiens myopathes de l’école vétérinaire de Maisons-Alfort, on ne soigne pas, on reçoit des animaux génétiquement modifiés pour naître myopathes sur lesquels on teste différents protocoles. D’où viennent-ils ? D’un élevage qui fait beaucoup parler de lui depuis 2010 : le CEDS, le Centre d’élevage du domaine des Souches, situé à Mézilles, un petit village de l’Yonne.
Depuis 2010, chaque année, une manifestation regroupant associations et militants dénonce cet élevage de chiens destinés aux laboratoires, et accusé de maltraitance dans ses locaux, entre autres à la suite d’un témoignage, devant la justice, d’un ex-employé aujourd’hui décédé.
En 2010, les manifestants étaient 400, en 2012 ils étaient plus d’un millier, faisant surgir dans les médias l’existence de cet élevage familial jusqu’alors peu connu. Un site internet dédié à la fermeture de cet élevage a même été créé. Monique et Michel Carré, propriétaires de cet élevage, ont radicalement refusé de répondre à mes questions.
La responsable de l’expérimentation animale de la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations) de l’Yonne a, elle, sèchement coupé court à toute communication. […] «
6 décembre 2013 à 13 h 42 min
Le 9 janvier 2014, rétablissons la vérité dans l’affaire du Var (16 enfants assassinés et trois autres broyés) :
http://dondevamos.canalblog.com/archives/2013/12/03/28579785.html
« Le 9 janvier, l’affaire du réseau pédophile du Var, que certains appellent l’affaire Amidlisa, sera jugée au tribunal de Draguignan. Venons en masse pour soutenir la famille des enfants et tenter de rétablir enfin la vérité sur cette affaire, dont ont été victimes trop d’enfants. 16 en sont même morts.
Ne rêvons pas: ce ne sont pas les viols d’enfants, ni les 16 meurtres, ni le réseau qui seront jugés. En effet, TOUTES les plaintes déposées par la mère des enfants en ce sens ont été classées sans suite, notamment par le célèbre procureur Girard, désormais installé à Meaux.
Non, ce qui sera jugé le 9 janvier, c’est la dénonciation calomnieuse de la mère des enfants. L’arme fatale des pédophiles: quand les plaintes pour viol ne sont pas suivies d’effets par la Justice, on constate, comme ce fut le cas à Saint Malo pour l’affaire de la petite Marine, que les pédophiles attaquent pour dénonciation calomnieuse.
Même quand la plainte n’est pas recevable, puisqu’elle n’entre pas dans le cadre de la loi. En effet, comment affirmer que les viols n’ont jamais existé et que la mère des enfants le savait parfaitement, puisque, comme les plaintes ont été classées sans suite, lesdits viols n’ont jamais été jugés? Il n’existe aucune vérité judiciaire à ce sujet, et on peut comprendre qu’une mère à qui ses enfants racontent de pareilles horreurs tente de réagir et de les protéger.
En outre, « La fausseté du fait dénoncé doit résulter nécessairement de la décision, devenue définitive, d’acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n’a pas été commis ou que celui-ci n’est pas imputable à la personne dénoncée », selon l’article 226-10 al.2.du Code pénal.
C’est donc face à cette procédure ubuesque que se trouve la mère des trois enfants du Var, une procéudre qui lui a valu d’être mise en examen début 2010. […] «
24 décembre 2013 à 10 h 52 min
C’est quand même hyper abstrait comme art.
9 janvier 2014 à 14 h 39 min
Heureusement que les lunettes sont la…
Sans celles-ci ce polaroid aurait été gaché